Comme l’explicite cet article de Sauvons l’Université, « les rapports en prévision du vote sur la loi de programmation de la recherche sont encore plus brutaux que ce que nous pouvions imaginer cet été : Suppression de la qualification, suppression de la référence aux 192hTD, Modulation de services obligatoire en fonction des besoins de chaque UFR, Fin du paiement des heures complémentaires, multiplication et création de nouveaux contrats précaires (dont des « CDI » de 6 ans maximum pour conduire des recherches sur projets) et renforcement de la logique d’appel à projets comme mode unique de financement de la recherche, etc. La réforme des retraites s’ajoute à ce mille feuilles de dégradations de nos conditions de vie, puisque ce sont des centaines d’euros que nous allons perdre lors de nos futures retraites, d’autant plus pour les collègues les plus précaires qui auront eu un parcours « a trou » durant leur carrière. »
Les trois rapports dont « Attractivité des emplois et des carrières scientifiques » sont à lire par ici