Judas filius, de Longavilla, et Judas, gener, Bonnevie de Paris (BnF, ms. lat. 13Jusqu’en 1182, les juifs résidaient dans l’île de la Cité, dans les rues de la Juiverie, de la Pelleterie et de la Vieille Draperie. 13 du comput.9. BJ100: Added Gypsy In The Night to the list. », © Lisa Debande, musées de Narbonne, ville de Narbonne. 16069, fol. Ces résultats viennent étayer le témoignage de Benjamin de Tudèle qui, en 1173, voyait une communauté tournée vers l’étude, ce qui semble encore se vérifier au xiiie siècle46. , Rome/Cité du Vatican, Pontificio istituto di archeologia cristiana. Mais se seraient-ils installés aussi autre part ? nat., KK 283 fol. Magne Charles, 1913, « Fouilles du bazar de l’Hôtel de Ville rue de la Verrerie. Floriah, fille du maître 4. le rabbin Binyamin, qui s’en fut 5. au jardin d’Éden le deuxième jour6. La dernière modification de cette page a été faite le 10 mars 2020 à 08:11. Propriétaire de deux maisons sises rue de la Huchette appartenant à Benoît et Cressant Morin, les vend au roi Philippe III, pour 120 livres en 1284, « Du coing devant Saint André des arz en venant par l’abrevoër au comte de Macon le renc devers la rue de la Herpe et en allant tout le renc parmi la rue de laz Huchette jusques a Petit Pont » (note 17), Usurière« 6 sols parisis sous la rubrique » / 6 s. parisis, « dans la grant rue Saint Beneoit, à commencer au bout par devers Saint Jacques, en venant tout contreval jusques au coing devant Saint Matelin » (note 18). Au xvie siècle l’ensemble du terrain n’était toujours pas bâti, ce qui explique sans doute le nombre de pierres tombales retrouvées là au xixe siècle (48). Sur le site www.sephardim.com, voici ce qu'on trouve : (5) Sephardic names extracted from … de maître Isaac, [pour le prénom, la lecture est celle de G. Nahon (1986, p. 98) ; la pierre étant perdue, il a fallu se fonder sur le relevé des textes ; je suggère à la fin la lecture du rech et du lamed רל au lieu de tav et lamed תל], Dame Anne ou Anna … (fille ou femme de) Joseph, Dame Judith, fille du compagnon le rabbin Abraham, Dame Judith, fille du rabbin Sabbatai Halévi, Dame […], fille du bienfaiteur [M]eir (ou Eléazar) (Nahon 1986, p. 107-108) Ha-Lévi, רא [...]ו/ן (?) Adamczewski. de Fr., ms. hébreu 44, fol. nat., J 151 A n° 22. Les cimetières juifs », Procès-verbaux de la commission municipale du Vieux Paris (mars 1912), p. 83-86. 43L’onomastique féminine se fonde sur l’analyse de trente-deux noms. Les noms des Juifs du Maroc: Essai d'onomastique judéo-marocaine ([Publicaciones] - Consejo Superior de Investigaciones Científicas, Instituto B. Arias Montano : ser. Que son âme soit liée au faisceau des vivants. Categories. 37 Un doute subsiste sur la date de l’épitaphe, la pierre ayant été brisée et recollée au niveau de la ligne 7 qui porte la date du décès, devenue en grande partie illisible. 18 Information transmise par Gérard Nahon : Arch. Your privacy is important to us. Par le décret de l'Alhambra, les Juifs sont expulsés d'Espagne en 1492. Ces inscriptions témoignent de l’usage de l’hébreu dans le rituel funéraire de l’époque médiévale et permettent de déterminer l’époque de sa réintroduction dans la vie quotidienne des juifs à partir du viiie siècle. 33 et 34,1-12]7. année 1 et 798. Cf. Mais ils se plient aussi aux tendances de leur époque et cela est particulièrement perceptible dans l’onomastique féminine. (Bellenée ? Il apparaît que, dans cette société, grande était la valeur de l’érudition en matière biblique ou rabbinique. La liste dressée cette année-là serait le résultat de l’évaluation du nombre de contribuables parisiens aptes à payer cette somme ; elle devait constituer une sorte de matrice utile pour les années suivantes. Le sens des noms de famille juifs collecté par Yehoshua Ra'hamim Dufour dans de nombreuses sources, en particulier, avec l'aide des oeuvres d'Avraham Laredo, de Heinrich Guggenheimer, et les corrections de Ida Akerman-Tieder (auteur de "Et tu raconteras à tes enfants) pour l'allemand, et de nos lecteurs. Balczarek. Le judaïsme se développa dans un environnement urbain qui conduisit à une certaine renaissance économique et culturelle. 57Certains noms sont partagés par les deux groupes comme Chiere, Joie, Rose, Lyon, Benoît, Bernard ou Moreau. 18La précision « hors de Paris » pourrait indiquer que « Joseph le Roi » travaillait à l’extérieur de Paris ou bien qu’il venait d’ailleurs. Mais la date du décès est calculée en fonction du calendrier local, ici celui du règne du roi Egica, et non en fonction du calendrier juif comme au bas Moyen Âge (fig. Adamczak. Ambroziewicz. 1Cette étude consacrée aux noms des juifs de Paris s’appuie sur, et complète, l’ouvrage de Gérard Nahon intitulé Inscriptions hébraïques et juives de France médiévale, publié à Paris en 1986. legan ceden yom bet6. Copin le médecin tient son nom d’un hypocoristique de Jacob. 49 Cette hypothèse est aujourd’hui acceptée par l’ensemble des historiens de Paris (Guérout 1958, n. 41). Pour cette étude ne seront retenues que celles dont les noms se dégagent avec certitude. Colophon d’Abraham, fils de Jacob, Paris, 13 mars 1303 (Paris, BnF, ms. hébreu 44, fol. Épitaphe de Jacob, fils de Rabbi Haïm, Paris, 1253 (Paris, MAHJ, D.98.05.004.CL), « Ceci est la stèle deRabbi Jacob, fils du rabbinHaïm qui s’en futde la péricope Emor [“Parle”, Lév. 166 et ms. hébreu 66, fol. ינא (?) This edition is on 0 lists. 125,5 et 128,6]. En effet, le père, Paragorius – nom utilisé par les juifs mais aussi par les non-juifs contemporains –, lui-même fils de Sapaudus – nom qui n’a pas d’autre occurrence chez les juifs –, dresse cette stèle à la mémoire de son fils Justus – nom usité chez les juifs. Juda Sire Léon (1166-1224), le lointain descendant de Rachi, était aussi connu comme Judah ben Isaac Sire Leon (1166-1224)33. Categories. La plupart des inscriptions retrouvées dans l’hexagone se trouvent plutôt dans la partie méridionale : Avignon (ive siècle), Auch (viie-viiie siècle), Bordeaux (vie siècle ?) Main author: Sebag, Paul. qevurat marat3. 2010. Dans d'autres pays (la Palestine) ont été les processus inverse, pour ce qui est strictement état surveillé. Abettan. ], fille de maître […] Cohen, An 35 du comput, 3e jour de la péricope we-Yeshev (Gen. 37-40) / mardi 20 nov. 1274, Dame Flory’ah (Nahon 1986, p. 78 ; erreur du lapicide dans la gravure du mot שנפרת au lieu de שנפתרה), An 41 du comput, 7e jour de la péricope be-shalah (Ex. Comme pour Moïse, les deux patronymes sont si fréquents qu’ils figurent rarement seuls sur les registres (Lyon d’Acre, Lyon de Tillières, Lyon Fille-Soie ; Vivant de Miauz, Vivant Caro, Vivant Agnelet, Vivant de Setmois). Les lieux de vie des juifs au xiie siècle sont indiqués en jaune ; le bleu délimite ceux qui furent occupés de la fin du xiie jusqu’à la seconde moitié du xiiie siècle. mais que, dans leur acte de divorce, n’ont été inscrits que leurs noms hébreux « et l’on omit les noms accessoires48 ». When What Who Comment; 8 minutes ago: to read (list) - diff. This database includes information regarding victims of the Shoah: those who were murdered and some whose fate has yet to be determined. Aaron. 87v, dans Sed-Rajna et al. La mention “saint” (qadosh) est inscrite à dix reprises41. / peleger qui ic Bennid / D(eu)s esto c[u]m ipso ; ocoli / invidiosi crepen[t] [Ps. Trois inscriptions synagogales proviennent de Béziers, Narbonne et Saint-Paul-Trois-Châteaux, dans le Tricastin (Nahon 1986, p. 332, 336-342, 348-350). 125,5) confirment à nouveau la judéité de cette famille ainsi que la coexistence des deux alphabets et des deux langues dans une inscription juive antique. Elle était la fille du maître et rabbin Judah et la veuve du maître et saint rabbin Jacob, qui connut peut-être une mort violente (fig. 1. Elle constitue une synthèse à laquelle j’ai adjoint l’apport des manuscrits, les résultats de mes recherches épigraphiques et l’éclairage des sources documentaires contemporaines1. 8-12), Bellassez […] (fille ou épouse de ou du rabbin ?) Mais Bernard n’est pas si courant chez les chrétiens, puisqu’on n’en trouve que 99 occurrences sur 60 000 noms. Abouab. 46 Nahon 2004, p. 31-50 ; Kohn 1988, p. 217-228 ; Sirat 1999, p. 121-139. L’interprétation de la ligne 8 rend la problématique plus complexe encore. Ceci est la stèle de 2. la tombe de dame 3. De plus, un « astrologue », Simon de Pharès, indique dans un recueil qu’il publia sur ses pairs célèbres que l’épitaphe du médecin-astrologue « Tsour », mort en 1122, était encore visible en 1492 « avec plusieurs autres choses bien enciennes24 ». S’agit-il bien des deux parties de la même stèle, Schwab et Longpérier n’ayant décrit que la partie haute de la pierre avant qu’elle ne soit reconstituée ? Sed-Rajna Gabrielle et Fellous Sonia, 1994, Les manuscrits hébreux enluminés des Bibliothèques de France, Louvain/Paris, Peeters. 15Les juifs quittent la France entre 1182 et 1198 à la suite de l’expulsion ordonnée par Philippe Auguste. Cette liste de noms est aussi un moyen pour trouver des héritages et … Pourtant, il faudra attendre le milieu du xiie siècle pour trouver une autre épitaphe assurément juive. Abettan. Ils moururent la deuxième année du seigneur Egica roi [soit entre le 24 novembre 688 et le 23 novembre 689]. Schwarzfuchs Simon, 1966, « France and Germany under the Carolingians », in : Roth Cecil (éd. Talmud de Babylone, New York, Shulsinger Bros, 1947-1948 (fac-similé de l’édition Romm, Vilnius, 1880-1886) : traité Sanhédrin 98b. Bibl. Les toponymes juifs sont nombreux en France et témoignent de plus de 2000 ans d'histoire des Juifs en France.Beaucoup notamment rappellent la présence des Juifs avant leur expulsion du royaume au XIV e siècle.D'autres rappellent les communautés qui ont perduré en Alsace ou en Avignon et en Comtat-Venaissin jusqu'au début du XX e siècle. Colophon de « Joseph le Roi » (Paris, vers 1300). Ainsi, « Priscus, familier de Chilpéric » est un nom latin, alors que « Manessier de Vesoul » garde son nom hébreu transcrit en caractères latins et adapté sans doute à la prononciation locale. ), The Dark Ages: Jews in Christian Europe 711-1096, Tel Aviv, p. 122-142. Abramoff. ], Bonnefi[lle] ou bonafi[lle] [fille ?] nowak nowakowska nowakowski nowalipski nower. 10. 53 Pour les quatre derniers, voir Nahon 1978, n. 18. ElviraBauer Problèmes topographiques, démographiques et institutionnels », in : Études sur l’histoire de Paris et de l’Île-de-France. 8La citation biblique ainsi que le décor composé des sacra – chandelier, corne de bélier et branche de palme – attestent la religion du défunt. Un cartulaire témoigne qu’à leur retour, trente-neuf juifs s’engagent à demeurer au Petit-Châtelet vers 1204, aux abords du Petit-Pont17. *Abitbol, Abokara, Aboutboul, Acco, Accos, Adda, Aiche, Aidan, Albo, Alfon, Allal, Allali, Allouche, Alnadjar, Ankri, Ankry, Ascoli, Assal, Assous, Assuied, Attal, Attali, Attia, Attias, Attoun, Ayoun, Azoulai, Azoulay, Azria, 4 J’ai choisi de transcrire le צ par ts, conformément à sa prononciation (habituellement ẓ selon les normes phonétiques) ; ה par h (j’écrirai donc Judah et non Judas) ; ח par ḥ ; י par y ; א par ‘ et ע par c. 5 Les sacra du judaïsme sont fixés depuis le iiie siècle. Mais selon certains témoignages, le même homme est identifié par son nom hébreu ainsi que par son nom ou surnom en langue vernaculaire, résultant parfois d’une traduction du nom hébreu. Full title: Les noms des juifs de Tunisie : origines et significations / Paul Sebag. Voici la liste des 5.220 noms de famille séfarade qui pourront acquérir la nationalité espagnole. Se pourrait-il que ce prénom soit plutôt parisien ou plus fréquent que dans les trente-neuf localités où des épitaphes ont été retrouvées ? 24Lors de leur rappel par Louis X le Hutin en 1315, les juifs habitaient rue des Rosiers « ou des Juifs » et rue de la Coquerée, dans laquelle se trouvait une synagogue. docu. Certains noms hébraïques comportent de légères variations, et d’autres noms propres moins fréquents n’apparaissent pas du tout dans cette liste. Il faudrait alors lire “le patron Judah”. CNRS - Institut de recherche et d’histoire des textes, © Publications des Archives nationales, 2018, Conditions d’utilisation : http://www.openedition.org/6540. Le nom Sarre (Sarre la Bocacharde) est attesté sur les tombes sous la forme de Sarah. 11 À Paris, toutes les stèles parisiennes ont été réunies au Musée d’art et d’histoire du judaïsme [MAHJ]. Gustave Schlumberger, Paris, Leroux, 7 vol. 16 Adler 1907, p. 81 ; Baratier 1734, p. 246-247. Texte hébreuזאת מ[צב]תקבורת מרתפלוריאה בת הרר בנימן שנפטרהלגן עדן יום בפרשת ברכהשנֿ[ת] א [...]עט[?] 24 Il s’agit sans doute, selon Jean-Patrice Boudet, d’une erreur de Simon de Pharès, qui confond ce personnage avec un médecin dont le nom était sans doute proche de celui d’Ibn Zuhr (Avenzoar), né et mort à Séville (v. 1091/1094 - v. 1161/1162). Abitbol. 1v. Adamowicz. Stèle funéraire de Justus, Matrona et Dulciorella, 688-689 (Musée d’art et d’histoire de Narbonne, n° 196-4171), « Ici reposent en paix les bienheureux trois enfants du seigneur Paragorius, fils de feu Sapaudus ; c’est-à-dire Justus, Matrona et Dulciorella, qui vécurent : Justus 30 ans, Matrona 20 ans, Dulciorella 9 ans. Balcerzak. A Political and Social History. 26La stèle, d’un style tout à fait différent de celles trouvées dans le cimetière de la rue de la Harpe, revêt un décor gothique formé d’une arcature trilobée. C’est la seule stèle du xive siècle qui ait été retrouvée à ce jour à Paris tant que celle du parc Monceau n’aura pas été plus assurément datée29. Quant au mot Patrone (43פטרונא), qui précède le nom de Yehudah, il s’agit d’un mot d’origine latine qui a été adopté dans la littérature rabbinique mais reste unique dans les relevés épigraphiques. Olszowy-Schlanger Judith, 2016, Hebrew and Hebrew-Latin Documents from Medieval England: A Diplomatic and Palaeographical Study, Louvain, Brepols. 666-672 ; Noy 1993, p. 263-272 ; Nahon 1986, p. 334-335, 350-353, 394-403). Ainsi les formations sur Belle sont-elles très populaires dans la langue vernaculaire, mais aussi en hébreu. Blumenkranz Bernhard, 1958-1962, « Quartiers juifs en France (xiie, xiiie, xive siècles) », Mélanges de philosophie et de littérature juives, t. III-V, Paris, Presses universitaires de France, p. 77-86. Sur les pierres tombales des hommes, seul celui en hébreu est suivi de la filiation du défunt. 10 Katz 1937 ; Schwarzfuchs 1966, p. 122-42 ; Chazan 1973, p. 9-62. 28Comme ce fut le cas pour la péninsule ibérique, on peut supposer que les juifs expulsés de France partaient avec l’idée de revenir. fils du « compagnon » ḥaver r. Moshe ha Levi, [J]udah, fils du « compagnon [d’étude] » R(abbin) Moïse ha-Lévi, Année 9 (5009), jour 6 (vendredi), péricope wa-yishlah (Gen. 32,4-36) / 3 décembre 1248, An 13 (5013), jour 1, péricope Emor (Lév. 3. Format: Book Aboulker. Are you sure you want to remove Noms des juifs du Maroc from this list? Deux épitaphes datées de 1139 et 1140 (fig. Abouhatséira. 5), et entrecoupée par les expulsions de 1182 et de 130623. 6. Des stèles, mais aussi des dalles, voire des graffitis sur les murs de quelques bâtiments, subsistent dans quarante et une villes ou villages dispersés dans toute la France actuelle. 27Caroline Bourlet a restitué sur une carte l’habitat juif parisien entre les xiie et xive siècles. Toutefois, les noms hébreux bibliques restent aussi fréquents dans l’onomastique juive antique que médiévale. Grabois Aryeh, 1970, « Du crédit juif à Paris au temps de saint Louis », Revue des études juives, t. CXXIX, p. 5-22. 25 Trois actes sont conservés : Arch. Simon de Pharès confirme avoir vu dans ce cimetière – devenu alors le jardin privatif de la demeure de Louis de Beaumont de la Forêt, archevêque de Paris (1446-1492) – la tombe de celui qu’il appelle « Tsour », médecin de son état. Le nom du donateur, Bennid, pourrait-il être une adaptation de l’hébreu Baroukh (“béni”) et une variante de Benedictus ? Sirat Colette, 1999, « Les manuscrits du Talmud en France du Nord au xiiie siècle », in : Dahan Gilbert (éd. Abahel. En décembre 1258, le texte d’un accord établi entre les chanoines de Notre-Dame et la communauté juive de Paris stipule que celle-ci utilise ce cimetière depuis cinquante ans et plus, donc depuis au moins 1198. Merci, nous transmettrons rapidement votre demande à votre bibliothèque. du comput / 1250 (? The Jews in the Visigothic and Frankish Kingdoms of Spain and Gaul. fol. 49À Paris, le prénom Joseph était visiblement moins prisé que dans le reste de la France, tandis que Yehiel, Mardochée, Samson y étaient plus fréquents. Son principal objectif est de retrouver le nom de chaque victime de la Shoah et de reconstituer son histoire. 50Sur trente-trois prénoms féminins, neuf sont à consonance locale mais peu usités par les contemporains non-juifs, si l’on se réfère aux rôles de la taille. Biernaciak. Paix sur Israël [Ps. Envoyez-moi le sens des noms que vous connaissez, merci. L’étude des noms portés par les juifs à Paris s’est étendue aux noms trouvés dans les manuscrits hébreux parisiens du xive siècle ainsi qu’à ceux qui figurent dans les rôles de la taille de 1296-1298 et dans d’autres documents d’archives, qui apportent chacun un éclairage différent sur les juifs de Paris, leur provenance et leur profession. 22Selon Jean-Pierre Caillet, durant le haut Moyen Âge, le cimetière juif était situé au pied de la Montagne Sainte-Geneviève. Il semble bien que la double identité ait été très utile pour que soit bien reconnue la personne mentionnée dans l’acte qui la concernait. 27 Conservée d’abord au musée Carnavalet (A.I. Une pierre tombale trouvée en 1904 rue de la Verrerie – l’ancienne rue de la Coquerée – et datée de 1364 indique qu’un autre cimetière juif a pu fonctionner à cette période. 16La liste des noms inscrits sous la rubrique De Normannia révèle l’arrivée à Paris de juifs normands, extérieurs au domaine. En 1173, le voyageur Benjamin de Tudèle fait la description d’une communauté très dynamique. (Nahon 1986, p. 116), Rabbin Samuel, (fils du ?) 71v-72v, n° 104 ; Nahon 1986, p. 47-48 ; Guérout 1958, p. 723. 110/4, p. 539-550. Aboulafia. 19 Paris, BnF, ms. hébreu 643, fol. A Political and Social History, Baltimore/Londres, Johns Hopkins University Press. Dédicace pour un pavage offert par Bennid, Auch, ive-ve siècle (Saint-Germain-en-Laye, musée des Antiquités nationales), « Au nom de Dieu, le saint pavage qui est ici, Bennid – Dieu soit avec lui, que des yeux envieux crèvent – l’a offert en don, Jona l’a confectionné. 16,18) / lundi 28 mai 1291, Rabbi Haïm (ou Vivant), fils du rabbin Samson, Isaac … r’ Isaac de Q (Caen ?) 29Parmi les trente-neuf juifs arrivés à Paris en 1204, dix-huit sont cités nommément dans un cartulaire31 : Brunus, filius Bonevite, Rothomagi ; Diex le Saut, [de] Arces ; Bonevie de Caudebec ; Abraham de Mostervillari ; Judas filius, de Longavilla, et Judas gener ; Deus le Croisse dortem, de Pontellomari ; Jacob de Bonavilla super [T]oquam ; Jacob [de] Lisies ; Morellus de Falesia ; Dex le Croisse, de Cadomo ; Joceus Doan, de Burgonn.
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