Elle est la conséquence de la persistance de la crise sanitaire provoquée par la pandémie de coronavirus et l’incertitude quant à l’évolution de la situation en France au cours des prochains mois. Edouardo Freitas rappelle à l'ordre les voitures n'ayant pas leur phare arrière allumé. Il semblerait que l'Oreca United #22 ait été impliquée dans l'incident.  Concurremment, Jean-Eric Vergne s'est arrêté aux stands pour un simple ravitaillement, redonnant la première place en LMP2 à la Gabriel Aubry et à son Oreca Jackie Chan #37. L'engin de Colin Kolles a dégringolé au 38e rang au général. Abonnez-vous pour regarder dès maintenant. Rappelons que cette transmission d'information est nécessaire, notamment pour surveiller la pression de turbo ou la quantité d'essence utilisée... La voiture, actuellement conduite par Anthony Wells est 19e en LMP2. The Official YouTube channel of the Le Mans 24 Hours. Pendant ce temps, la Ferrari #60 de Claudio Schiavoni a fait une pirouette dans l'entrée de la pit-lane. Avec le Bol d’Or et la première édition des 8 Heures de Sepang, deux des cinq manches du Championnat du Monde d’Endurance Moto FIM EWC 2019-2020 ont été disputées. Le drapeau à damiers est présenté aux concurrents. En LMP2, la noria des leaders se poursuit... En GTE Pro, les Ferrari prennent légèrement le dessus sur des Aston Martin moins fringantes. => Streaming, TV, chaînes… Le programme TV des 24h du Mans 2020. Porsche qui détient le record du nombre de succès aux 24 Heures du Mans (19), a annoncé, mercredi, son retour dans la Sarthe avec un proto LMDh pour jouer à … Avec la crise du coronavirus et suite au report de la course les 19 et 20 septembre, les budgets ont été diminués et au final seules deux Porsche 911 RSR modèle 2019 ont été engagées. Les deux voitures impliquées rentrent au stand et la Porsche avec un museau amoché. Résultat : les deux Oreca de l'équipe United Autosport mènent la danse. Les moteurs sont démarrés, face aux tribunes malheureusement vides. Celebrating the good old days but with its sights firmly set on the future, the Peugeot 908 (with Carlos Tavares at the wheel) has set off for a lap of the circuit. Qualifications et hyperpole : comment ça marche ? Avec en toile de fond, le fameux numéro 24 agrémenté de lignes « futuristes » et « colorées », selon la volonté de l’agence Désigne x Pulp qui en est à l’origine. Pendant ce temps, Laurens Vanthoor a regagné son stand aux commandes de la Porsche 911 RSR #92. #LeMans24 #WEC #24hUNITED pic.twitter.com/cbbhPmOPip. Laurens Vanthoor a repris la piste, perdant 1 tour dans l'affaire. - 01:03:18. La #7 semble cependant plus en verve que sa voiture soeur, tandis que les Rebellion limitent l'écart à 2-3 secondes au tour. Toyota n°8 (Buemi/Nakajima/Hartley) 387 tours 2. Les emm***, ça vole en escadrille disait Jacques Chirac. CLASSEMENT FINAL. Plus de peur que de mal pour la voiture de Takeshi Kimura, 19ème en GTE AM. The N°39 Oreca (SO24 by Graff) has completed a quadruple stint (39 laps/531km) which saw it top the LMP2 order before it eventually changed drivers! A la suite de sa figure au freinage de la Dunlop, Duncan Cameron est au ralenti en bord de piste, les pneus de la Ferrari du Spirit of Race ayant durement souffert lors de ce tête-à-queue à grande vitesse. Rappelons d'ailleurs que l'écurie de Philippe Sinault "montera" en LMP1 l'an prochain, récupérant les actuelles Rebellion R13. Pas de dégats massifs pour Alexander West, mais l'engin est très mal placé dans le gauche suivant le virage Porsche. La voiture semble trop abîmée pour repartir. Juan Pablo Montoya est au volant. 1- #5 FCC TSR Honda 816 tours. L'engin, qui a perdu deux tours en début de course, est remontée au 15e rang. Sortie de piste de la Ferrari #70 du MR Racing. La voiture de sécurité s'est effacée et le peloton des 56 machines encore en piste peut reprendre sa ronde infernale, sous un ciel bien bouché. Le calme relatif de la dernière heure de course a laissé place à ballet de passages par les stands. Le débours s'élève à deux tours et demi. Dominique Bastien, 74 ans (qu'il ne fait pas du tout ! Annoncée le 10 août, cette décision a été prise par l’Automobile Club de l’Ouest et la Préfecture de la Sarthe, en concertation avec différentes instances référentes en matière de sécurité sanitaire. Au volant de la TS050 #7, le Japonais Kamui Kobayashi a réalisé le temps de référence de l’hyperpole, en 3:15.267. Daniel Serra cède le volant de la Ferrari #51 à James Calado. Afin de promouvoir les nouvelles technologies, l’ACO peut inviter un concurrent présentant une voiture innovante, en catégorie « Garage 56 », ne répondant pas aux règlements techniques en vigueur du Championnat du Monde d’Endurance de la FIA. Le warm-up, ultime séance de réglage et de vérification avant le départ des 24 heures, aura lieu de 10h30 à 10h45. L'Alpine-Signatech #36 est toujours arrêtée à son box. Ici, il s'agit de... la télémétrie. La trajectoire a été adoucie avec les années, mais gare à ne pas trop surmonter le vibreur. Les 59 engagés sont à présent alignés en épi dans la ligne droite des stands. Dans l'ordre : Aston Martin #97, Ferrari #71, Ferrari #51 et Aston Martin #95. Drapeau jaune. Heureusement, on n’a pas perdu trop de temps, mais c’était avant le coup dur de la colonne de direction. Il devance son équipier Mike Conway (3:39.3). Les classements complets par catégorie. Duncan Cameron est parvenu à rejoindre les stands au volant d'une 488 GTE Evo au côté gauche marqué par les lambeaux de ses pneus crevés. Alors que le soleil se montre timidement dans la ligne droite des stands, ça bastonne en GTE Pro. Parti braver la fraîcheur du dehors, Andy David nous informe que des nuages noirs s'amoncellent du côté du virage d'Arnage. #90 – Aston Martin Vantage (TF Sport) – Adam, Eastwood, Yoluc (31e). Le circuit est déclaré humide, même s'il sèche rapidement. (Droits réservés. Le sort qui s’acharne sur la #7. Par Florian Defet | 22 septembre 2020 | 24 Heures du Mans | Voir l'image agrandie. Côté GTE Pro et GTE Am, les Aston Martin ont clairement pris le dessus sur les Ferrari 488 GTE et Porsche 911 RSR pendant la session chronométrée. Les fauves sont lâchés pour la procédure de départ ! Du nouveau au sujet du doyen de ces 88èmes 24h du Mans. L'Autrichien s'est jeté sur le côté pour éviter le contact, à traversé le bac à gravier avant de heurter une pile de pneus par l'arrière. ! Derrière, les Rebellion sont désormais à un tour. Mais cette saison fera donc exception, au regard de la crise sanitaire provoquée par le coronavirus, conduisant à un report de l’épreuve. Les Toyota comptent désormais près de 3 minutes d'avance sur la première Rebellion (la #1 de Gustavo Menezes). Le temps de l’arrêt fait logiquement retomber le Russe du cinquième au septième rang. C'est la première fois qu'une voiture chaussée en Goodyear s'empare de la première place dans cette classe. En LMP2, United Autosports a placé la #32 et la #22 devant la Jota Sport #38. 2- #1 Webike SRC Kawasaki à 2T. L'autre G-Drive ne semble finalement pas inquiétée pour son dépassement présumé sous safety-car. (N'hésitez pas à vous moquer de nous en cas de loupé...) Sebastian Buemi relaye Kamui Kobayashi au volant de la Toyota #8 du Gazoo Racing. Mentions spéciales pour Gustavo Menezes, auteur d’un 3:15 en qualifications et Bruno Senna, qui a résisté aux Toyota dans son premier relais. Arrêt de Kamui Kobayashi qui cède cette fois la tête des 24 heures à la Toyota #8. (*) les 24 Heures Camions portent l’appellation 24 Heures, mais ne se disputent pas sur 24 Heures. Une slow zone est maintenue dans les Hunaudières où Tristan Gommendy a connu sa sortie de route. Tristan Gommendy va bien, même si l'Oreca-Duqueine #30 abandonne. Le pilote français observe les autres voitures arrivant à petite vitesse à la chicane, casque à la main, en attendant le départ de l'ambulance vers le centre médial... La ByKolles est toujours arrêtée dans la descente après avoir été dégagée par un Manitou. Elle n'est pas la seule à se faire une frayeur : Jeffrey Segal est allé tâter du hors-piste dans la descente de Dunlop avec la Ferrari #63 WeatherTech Racing. Les engins allemands comptent désormais sur la pluie pour redistribuer les cartes. Grabuge à la courbe Dunlop. GTE Pro : Aston Martin #95 (Romain), Ferrari #51 (Andy), Porsche #92 (Guillaume) Il a près d'une minute d'avance sur son équipier Sébastien Buemi (Toyota #8). Les tribunes du circuit seront vides tout au long de la course, transformant l'atmosphère de cet évènement d'habitude si coloré. Pendant ce temps, les commissaires tentent de réparer le rail de la première chicane en le découpant à la fraiseuse. Sans quoi, la voiture a tendance à tanger vers l’extérieur de la trajectoire. Jackie Chan DC Racing garde la première place de sa classe. Qualifié 25ème sur la grille, l’équipage est occupé à se faire frayer un chemin dans l’épais peloton des LMP2 et occupe une jolie 12ème place après plus de sept heures de course. Le proto préparé dans l'Essonne avait effectué un superbe début de course. Comme l’an dernier, Toyota fait figure de favori. Seule l’Oreca 07 #42 du Cool Racing a perdu une place entre les deux classements car Alexandre Coigny a piloté au-delà des 4 heures maximums autorisées sur une période de 6 heures. La 88e édition des 24 Heures du Mans a été remporté par la Toyota #8 pilotée par Sébastien Buemi, Kazuki Nakajima et Brendon Hartley. Pierre Ragues est désormais à bord de l'Oreca "rebadgée" aux couleurs dieppoises. Edouard Freitas, le directeur de course : "Bonjour à toute la pit-lane. Engagés Invités. En GTE Pro, la lutte pour la 2e place tourne à l'avantage de la Ferrari #51 de Daniel Serra a l'issue d'un mano a mano spectaculaire dans les Hunaudières. 車ストップからのリブートで再スタート#LeMans24jp #wecjp #LeMans24 pic.twitter.com/JpDGO5oMJq. Un salut à l’équipe IDEC Sport de Nicolas Minassian : avec deux gros accidents cette semaine, placer une Oreca dans le top 10 au général relève de l’exploit. Et voici une image de l'engin qui préfigure l'hypercar Toyota, présente dès l'an prochain aux 24 heures. Derrière, ça freine très tôt pour éviter le grabuge. sur La Peugeot ‘Le Mans Hypercar’ arrivera en course « courant 2022 », Porsche pourrait fournir des voitures LMDh à ses clients, Vidéo : Porsche de retour pour jouer la victoire au général des 24 Heures du Mans. Classement, Interviews, retrouvez toute l'actu de la course en direct des stands. Pendant ce temps, les Toyota se frayent un passage parmi les GTE. Les luttes portent désormais sur les catégories LMP2, où Ho Pin Tung (Oreca Jackie Chan #37) occupe la tête après un beau relais. Décidément, les actions Porsche sont en forte baisse... #LeMans24 – Unscheduled pit stop for #Porsche #911RSR No. - 03:15:01. Oh, tristesse. Ce changement reflète la volonté des organisateurs d'offrir davantage de temps de roulage avant la tombée de la nuit (le soleil se couche à 20 heures et non 22 heures comme en juin) et de s'adapter aux exigences des diffuseurs télé (avec l'arrivée du Tour de France). LMP2 : Aurus G-Drive #26 (Romain), Oreca-United #22 (Andy) Oreca Nederland #29 (Guillaume) Les 24 Heures du Mans 2020 sont la 88 e édition des 24 Heures du Mans et la 8 e et dernière manche du calendrier du Championnat du monde d'endurance FIA 2019-2020. La 911 RSR est créditée de 6 tours, contre 50 aux leaders. Nouvelle interruption au drapeau jaune, transformée en voiture de sécurité, la troisième de ces 24h. L'envol des Toyota se poursuit... Surtout pour la #7, qui semble adopter un rythme plus véloce que la #8. En GTE Pro, les quatre premiers se tiennent en 15 secondes, avec un léger avantage pour Ferrari sur Aston Martin. Elle quitte la voie des stands après avoir perdu la 2e place au général au bénéfice de la Rebellion #1. "La remise en vitesse est laborieuse", a expliqué Kevin Estre, pilote de la RSR #92. Pour l'instant, il ne s'agit que d'un tout petit crachin sur certaines sections du tracé... La grosse pluie est attendue plus tard dans la nuit. L'Aston Martin #97 vient de reprendre la tête suite au ravitaillement de la Ferrari #51 d'AF Corse. => Le nouveau calendrier du championnat du monde d’endurance WEC. Mais il va devoir s'arrêter prestement pour un ravitaillement, redonnant les commandes à l'autre Toyota du Gazoo Racing. Les Toyota s'échangent la tête des 24 heures, au gré de leurs stratégies décalées. 24 HEURES DU MANS 2020. Toyota n°7 (Conway/Kobayashi/Lopez) à 6 tours . La 911 #92 est 5e dans sa catégorie, la #91 est 7e. En effet, le coup d’envoi du double tour d’horloge de la 88e édition sera effectif à 14h30, samedi 19 septembre. Pour rappel, la marque au Lion fera son retour officiel en Endurance en 2021 dans la nouvelle catégorie Hypercar (plus d'infos ici). Cette année, aucun podium n’a évolué depuis l’arrivée de la course dimanche 20 septembre 2020. On se souvient tous des pénalités qui ont bouleversé les podiums des dernières éditions 24 Heures du Mans. Tout droit de l'Oreca - Eurointernational #11 au S du Tertre. Notamment en GTE Pro où deux Porsche 911 RSR « usine » affronteront deux Aston Martin Vantage et quatre Ferrari 488 GTE. 3. ?#WEC #LeMans24 @AMR_Official pic.twitter.com/uajTuo0IE7. 24 HEURES DU MANS 2020. En LMP2, Gabriel Aubry a ravitaillé, redonnant la première place à Jean-Eric Vergne et à son Aurus #26. Kazuki Nakajima a perdu 10 minutes dans son garage, perdant la 2e place au général au profit de la Rebellion #1. 24 Heures du Mans. Il est revenu au second rang derrière l'Oreca #22 de Felipe Albuquerque. => 24h du Mans en septembre : à quoi ça va ressembler ? Durant cinq jours, Idec Sport a accueilli une équipe de tournage afin de retranscrire la vie de l’équipe lors des dernières 24 Heures du Mans. Attention, la Toyota #8 est dans le garage ! Ces 24 Heures du Mans virtuelles se sont déroulées en lieu et place de la course réelle, reportée aux 19 et 20 septembre. En embuscade, les deux Rebellion sont désormais à 1:30 et 2:30. En LMP2, la bagarre en tête concerne l'Oreca - Graff #39 d'un très inspiré James Allen et les Oreca - United #22 et #32. Quant à Eurosport, l’intégralité de la course sera retransmise sur Eurosport 2, tandis qu’Eurosport 1 couvrira le direct de l’inédite hyperpole, vendredi. En LMP2, James Allen (Oreca-Graff #39) occupe la tête avec beaucoup de brio. "Pechito" reprend la piste à 24 seconde de la voiture soeur, pilotée par Brendon Hartley. Et si on se remontait le moral en BMW V12 LMR ?.. #71 – Ferrari 488 Evo (AF Corse) – Bird, Molina, Rigon (27e), #72 – Ferrari 488 Evo (Hub Auto) – Blomqvist, Chen, Gomes (36e), Même à huis clos il y a un drapeau breton. Le classement final des 24 Heures du Mans 2020. On coupe ! Sébastien Buemi reprend la tête des 24h du Mans. Une légère bruine a humidifié la piste ce matin, mais un timide soleil se montre au-dessus des stands. Plus sérieusement, la plus grosse différence reste la vitesse. A à notre connaissance, il n’a pas cassé de bois dans une catégorie GTE Am où les cartons sont légion. Drapeau vert, c'est reparti. A quelques minutes du départ, le dirigeable Goodyear et l'hélicoptère de l'armée survolent la ligne droite des stands. Lors de la dernière édition en date, ce sont les GT qui avaient été mises à l’honneur à travers le mythique duel opposant Ferrari à Ford. Il précède l'Oreca #29 (Nederland) pilotée par Guido Van der Garde. Les 60 dernières minutes ont été bien agitées. The Official YouTube channel of the Le Mans 24 Hours. Le drapeau jaune et la neutralisation qui en suivirent ont permis à plusieurs montures de s’offrir un pitstop “gratuit”. ", s’exclame-t-il sur les ondes de Radio Le Mans. La même voiture qui avait eu son coup de chaud (roue arrière-gauche en feu) dans les stands. Nouvel échange de position en tête, puisque la Toyota #8 a stoppé pour un service complet (essence, pneus, changement de pilote). Oreca n°22 (Albuquerque/Di Resta/Hanson) à 17 tours, 1er LMP2 . De là, la vue est imprenable sur l’entrée des Hunaudières. Moins de 15 secondes séparent le Belge Maxime Martin, au volant de la Vantage, de Daniel Serra, avec la 488 EVO. La Porsche #92 a été rentrée dans son box pour des soucis de direction assistée. A peine passé de nos yeux, qu’ils avalent déjà la ligne droite et sa rangée de platanes, plein pot vers la première chicane… jusqu’au prochain passage !”. Il a subi quelques modifications depuis l’an dernier, comme le souligne Vincent Beaumesnil, directeur « sport » de l’Automobile club de l’Ouest : Les travaux ont été relativement légers par rapport à d’autres éditions, néanmoins, nous avons opéré certains changements à Mulsanne : à savoir augmenter la profondeur du dégagement et remplacer une partie du bac à graviers par un run off en asphalte, qui permet de ralentir les voitures quand elles sortent de la piste tout en évitant les projections de gravier et le nettoyage qui en découle, comme c’est le cas avec les bacs. Un circuit vide, mais des spectateurs qui arrivent à voir la course par-dessus les palissades…. Arrêt de routine. Les vérifications techniques effectuées lundi n’ont révélé aucune infraction et le classement de la 88e édition est désormais définitif. Le circuit est si rapide, avec 30 LMP qui roulent comme des fusées autour de vous ! Mike Conway reste au volant du prototype nippon. En GTE Pro, l'Aston Martin #97 devance toujours les Ferrari tandis que Porsche semble en bien mauvaise posture... #39 – Oreca (So24/Graff) – Allen, Capillaire, Milesi (5e), #97 – Aston Martin (AMR) – Lynn, Martin, Tincknell (28e), #90 – Aston Martin (TF Sport) – Adam, Eastwood, Yoluc (36e). En LMP2, l'Oreca-United #22 est en tête, mais deux de ses concurrents sérieux ont déjà perdu deux tours : l'Alpine-Signatech #36 et l'Oreca-Nederland #29. Elle ressort 8ème, toujours avec Antonio-Félix Da Costa au volant. Après 3 heures de course, les Toyota continuent à s'échanger la première place au gré des ravitaillement. "Je m’amuse comme un petit fou, ca change de ce que je fais d'habitude. WEC : Toyota seule au monde dans le golfe Persique Coup double pour la Toyota Hybrid n°7 avec la victoire à Bahreïn et le titre mondial des pilotes.© FIA WEC BREAKING: We have another new contender for your next season @OfficialWRC?? Dans les autres catégories, la lutte s’annonce encore plus ouverte. Pas d'incident notable au départ. Les 24 Heures Motos 2020, les 18 et 19 avril prochains, vont lancer notre saison « 24 Heures au Mans ». La #7 demeure avantagée, puisque la #8 a été retardée par une crevaison dans la première heure. Girl Power ! Kamui Kobayashi, poleman de cette édition, vient d'effectuer un nouveau ravitaillement. En LMP2, on note la belle remontée de Kenta Yamashita au volant de l'Oreca High-Class #33. Cela fait 7 minutes que les mécanos travaillent à l'avant. Les Rebellion ravitaillent. Regardez la vidéo premium: 24 Heures du Mans 2020 | Essais libres 2 - Suivez les essais libres des 24 Heures du Mans 2020 en intégralité. En 2020, il faudra patienter une demi-heure de moins avant d’assister à l’abaissement du drapeau tricolore. Nobuya Yamanaka (Ligier Eurasia #35) effectue sa deuxième sortie de route du jour, échouant cette fois dans le bac à gravier de l'angle droit. Ceci permet aux deux Rebellion de s'installer aux 2e et 3e rangs provisoires derrière Mike Conway. Rappelons que le brouillard n'est pas loin ! Si la pluie se fait encore attendre (on l'annonce à partir de 4h du matin), le brouillard sarthois pourrait venir jouer des tours aux pilotes. Quelques éclairs pointent même le bout du nez, signe d'une nuit "rock'n'roll" au-dessus de nos têtes ? Le pilote Alpine, Thomas Laurent perd le contrôle dans les virages Porsche ! Mike Conway boucle le premier tour en tête à bord de la Toyota #7. L'Alsacien Tom Dillmann est toujours au volant, devant les premiers de la catégorie LMP2. Voir l'arrivée ! 24 HEURES DU MANS - Toyota a remporté les 24 Heures du Mans 2020, signant un 3e succès consécutif grâce au trio Buemi-Nakajima-Hartley engagé sur la n°8. La vitesse de pointe est bonne, on manque juste d’accélération en sortie de virages, c’est là qu’on perd le plus de temps.”. Toyota n°8 (Buemi/Nakajima/Hartley) 387 tours 2. Puis j’ai souffert d’une crevaison dans les virages Porsche. => Qualifications et hyperpole : comment ça marche ? A la faveur d'un arrêt "gratuit" offert par une zone de neutralisation, Brendon Harley a remis la #8 dans la course face à #7. La #7 reste donc en tête. Notre collègue Guillaume s’est aventuré en piste pour scruter de plus près les voitures. Cette année, aucun podium n’a évolué depuis l’arrivée de la course dimanche 20 septembre 2020. #8 – Toyota TS050 (Toyota) – Buemi, Hartley, Nakajima 373 tours, #7 – Toyota TS050 (Toyota) – Conway, Kobayashi, Lopez +1 tour, #3 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Berthon, Delétraz, Dumas + 1:18, 1er LMP2 : #22 – Oreca (United) – Albuquerque, di Resta, Hanson + 16 tours, #8 – Toyota TS050 (Toyota) – Buemi, Hartley, Nakajima 356 tours, #3 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Berthon, Delétraz, Dumas + 17s, #7 – Toyota TS050 (Toyota) – Conway, Kobayashi, Lopez +7 tours, #8 – Toyota TS050 (Toyota) – Buemi, Hartley, Nakajima 339 tours, #3 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Berthon, Delétraz, Dumas + 5 tours, #1 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Menezes, Nato, Senna + 0.7s, 1er LMP2 : #22 – Oreca (United) – Albuquerque, di Resta, Hanson + 15 tours, #8 – Toyota TS050 (Toyota) – Buemi, Hartley, Nakajima 323 tours, #3 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Berthon, Delétraz, Dumas + 4 tours, #7 – Toyota TS050 (Toyota) – Conway, Kobayashi, Lopez + 7 tours, 1er LMP2 : #22 – Oreca (United) – Albuquerque, di Resta, Hanson + 14 tours, #8 – Toyota TS050 (Toyota) – Buemi, Hartley, Nakajima 305 tours, #1 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Menezes, Nato, Senna + 31s, 1er LMP2 : #22 – Oreca (United) – Albuquerque, di Resta, Hanson + 13 tours, #8 – Toyota TS050 (Toyota) – Buemi, Hartley, Nakajima 288 tours, #1 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Menezes, Nato, Senna + 35s, 1er LMP2 : #22 – Oreca (United) – Albuquerque, di Resta, Hanson + 32 tours, #8 – Toyota TS050 (Toyota) – Buemi, Hartley, Nakajima 271 tours, #1 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Menezes, Nato, Senna + 2 tours, 1er LMP2 : #22 – Oreca (United) – Albuquerque, di Resta, Hanson + 11 tours, #8 – Toyota TS050 (Toyota) – Buemi, Hartley, Nakajima 253 tours, #1 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Menezes, Nato, Senna + 1 tour, #3 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Berthon, Delétraz, Dumas + 3 tours, #8 – Toyota TS050 (Toyota) – Buemi, Hartley, Nakajima 237 tours, 1er LMP2 : #32 – Oreca (United)  – Brundle, Owen, Van Uitert + 10 tours, #8 – Toyota TS050 (Toyota) – Buemi, Hartley, Nakajima 221 tours, 1er LMP2 : #32 – Oreca (United)  – Brundle, Owen, Van Uitert + 9 tours, #8 – Toyota TS050 (Toyota) – Buemi, Hartley, Nakajima 205 tours, 1er LMP2 : #32 – Oreca (United)  – Brundle, Owen, Van Uitert + 8 tours, #7 – Toyota TS050 (Toyota) – Conway, Kobayashi, Lopez - 190 tours, #8 – Toyota TS050 (Toyota) – Buemi, Hartley, Nakajima + 1 tour, #7 – Toyota TS050 (Toyota) – Conway, Kobayashi, Lopez - 173 tours, 1er LMP2 : #32 – Oreca (United)  – Brundle, Owen, Van Uitert + 7 tours, #7 – Toyota TS050 (Toyota) – Conway, Kobayashi, Lopez - 156 tours, #3 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Berthon, Delétraz, Dumas + 3:42, #7 – Toyota TS050 (Toyota) – Conway, Kobayashi, Lopez - 138 tours, #1 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Menezes, Nato, Senna+ 2:19, #3 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Berthon, Delétraz, Dumas + 2 tours, 1er LMP2 : #32 – Oreca (United)  – Brundle, Owen, Van Uitert + 6 tours, #7 – Toyota TS050 (Toyota) – Conway, Kobayashi, Lopez - 122 tours, #1 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Menezes, Nato, Senna+ 30s, 1er LMP2 : #32 – Oreca (United) – Brundle, Owen, Van Uitert + 6 tours, #7 – Toyota TS050 (Toyota) – Conway, Kobayashi, Lopez - 109 tours, #8 – Toyota TS050 (Toyota) – Buemi, Hartley, Nakajima + 1 tour, 1er LMP2 : #26 – Aurus (G-Drive) – Jensen, Rusinov, Vergne + 6 tours, #7 – Toyota TS050 (Toyota) – Conway, Kobayashi, Lopez – 99 tours, #8 – Toyota TS050 (Toyota) – Buemi, Hartley, Nakajima + 9.9s, #3 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Berthon, Delétraz, Dumas + 4:37, 1er LMP2 : #37 – Oreca (Chan DC) – Aubry, Stevens, Tung + 5 tours, #7 – Toyota TS050 (Toyota) – Conway, Kobayashi, Lopez  - 84 tours, #8 – Toyota TS050 (Toyota) – Buemi, Hartley, Nakajima+ 36s, #3 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Berthon, Delétraz, Dumas + 3:18, 1er LMP2 : #37 – Oreca (Chan DC) – Aubry, Stevens, Tung + 4 tours, #8 – Toyota TS050 (Toyota) – Buemi, Hartley, Nakajima  - 69 tours, #7 – Toyota TS050 (Toyota) – Conway, Kobayashi, Lopez+ 18s, #1 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Menezes, Nato, Senna + 3:04, #3 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Berthon, Delétraz, Dumas + 1 tour, #37 – Oreca (Chan DC) – Aubry, Stevens, Tung + 3 tours, #7 – Toyota TS050 (Toyota) – Conway, Kobayashi, Lopez  - 51 tours, #8 – Toyota TS050 (Toyota) – Buemi, Hartley, Nakajima+ 1:20, #1 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Menezes, Nato, Senna + 2:02, #3 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Berthon, Delétraz, Dumas + 3:15, #39 – Oreca (So24/Graff) – Allen, Capillaire, Milesi + 2 tours, #8 – Toyota TS050 (Toyota) – Buemi, Hartley, Nakajima – 34 tours, #7 – Toyota TS050 (Toyota) – Conway, Kobayashi, Lopez  – +2.9.s, #1 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Menezes, Nato, Senna + 1:31.1, #3 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Berthon, Delétraz, Dumas + 2:32.6, #4 – ENSO-CLM (ByKolles) – Dillmann, Spengler, Webb + 1 tour, #7 – Toyota TS050 (Toyota) – Conway, Kobayashi, Lopez  – 16 tours, #1 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Menezes, Nato, Senna + 1:04.436s, #3 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Berthon, Delétraz, Dumas + 1:17.186, #8 – Toyota TS050 (Toyota) – Buemi, Hartley, Nakajima + 13.635s, #4 – ENSO-CLM (ByKolles) – Dillmann, Spengler, Webb + 2:38.214, #7 – Toyota TS050 (Toyota) – Conway, Kobayashi, Lopez, #1 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Menezes, Nato, Senna, #8 – Toyota TS050 (Toyota) – Buemi, Hartley, Nakajima, #3 – Oreca-Gibson (Rebellion) – Berthon, Delétraz, Dumas, #4 – ENSO-CLM (ByKolles) – Dillmann, Spengler, Webb, #26 – Aurus (G-Drive) – Jensen, Rusinov, Vergne, #29 – Oreca (Nederland) – De Vries, Van der Garde, Van Eerd, #33 – Oreca (High Class) – Fjordbach, Patterson, Yamashita, #32 – Oreca (United) – Brundle, Owen, Van Uitert, Guido Van der Garde (Oreca Nederland #29), #8 – Toyota TS050 (Toyota) – Buemi, Hartley, Nakajima - 3:36.7, #7 – Toyota TS050 (Toyota) – Conway, Kobayashi, Lopez + 2.7s, #29 – Oreca (Nederland) – De Vries, Van der Garde, Van Eerd + 6.3s, #31 – Oreca (Panis) – Canal, Jamin, Vaxivière + 12.8s, #35 – Ligier (Eurasia) – Foster, Mehri, Yamanaka + 14.5s, #51 – Ferrari 488 (AF Corse) – Calado, Pier Guidi, Serra - 4:12.4, #54 – Ferrari 488 (AF Corse) – Castellacci, Fisichella, Flohr - 4:17.3, 08h00 – 18h00 vérifications administratives et techniques (circuit), 12h15 – 12h45 : remise trophée hyperpole, 12h45 – 14h12 : grille et cérémonie de départ, 14h30 : départ de la 88e édition des 24 heures du Mans, 14h30 : arrivée de la 88e édition des 24 heures du Mans, Toyota TS050 #8 (Toyota) Buemi / Nakajima / Alonso – 385 tours, Toyota TS050 #7 (Toyota) Conway / Kobayashi / Lopez + 16.972, BR1 #11 (SMP) Petrov / Aleshin / Vandoorne + 6 tours, Rebellion R13 #1 (Rebellion) Jani / Lotterer / Senna + 9 tours, Rebellion R13 #3 (Rebellion) Laurent / Berthon / Menezes + 15 tours, Alpine-Signatech #36 Negrao / Thiriet / Lapierre + 17 tours, Oreca #38 (Jackie Chan DC) Tung / Richelmi / Aubry + 18 tours, Oreca #28 (TDS) Perrodo / Vaxiviere / Duval + 19 tours, Ligier #22 (United) Hanson / Albuquerque / Di Resta + 20 tours, Oreca #48 (Idec Sport) Lafargue / Chatin / Rojas + 21 tours, Alpine-Signatech #36 Negrao / Thiriet / Lapierre – 368 tours, Oreca #38 (Jackie Chan DC) Tung / Richelmi / Aubry + 1 tour, Oreca #28 (TDS) Perrodo / Vaxiviere / Duval + 2 tours, Ferrari 488 GTE #51 (AF Corse) Calado / Pier Guidi / Serra – 342 tours, Porsche 911 RSR #91 (Porsche) Lietz / Bruni / Makowiecki + 49.193, Porsche 911 RSR #93 (Porsche) Pilet / Bamber / Tandy + 1:07.157, Porsche 911 RSR #56 (Project 1) Bergmeister / Lindsey / Perfetti + 44.943, Ferrari 488 GTE #84 (JMW) Segal / Baptista / Lu + 1:29.127. Cette année, aucun podium n’a évolué depuis l’arrivée de la course dimanche 20 septembre 2020. Et nous parlions de LMP2 : la bataille Aubry-Vergne vient de basculer en faveur de ce dernier. Sont-ils annonciateurs d'une dégradation de la météo ? Une mention pour le franco-américain Dominique Bastien. La voiture est désossée et les mécaniciens travaillent sur le train avant. Il reprend la piste à 1:18 de la Toyota #7 de Kamui Kobayashi. Les excellentes 23 premières heures de la part de Rebellion, qui a fait de son mieux face à un géant automobile. Sur cette page, vous pourrez suivre l'épreuve en live et une intégralité (même la nuit... surtout la nuit !). 5. Les Rebellion sont désormais à un tour... Michelin nous apprend que l'Oreca Graff/So24 #39, pilotée par James Allen a effectué quatre relais avec ses pneus... soit 531 km de course. #97 – Aston Martin (AMR) – Lynn, Martin, Tincknell (22e), #83 – Ferrari 488 Evo (AF Corse) – Collard, Nielsen, Perrodo (31e).