Trouvez l’adresse qui vous intéresse sur la carte Sèvres ou préparez un calcul d'itinéraire à partir de ou vers Sèvres, trouvez tous les sites touristiques et les restaurants du Guide Michelin dans ou à proximité de Sèvres. Le traité de Sèvres clôt l’histoire de l’Empire ottoman. Aux yeux des Turcs, il demeure la preuve flagrante que la Turquie n’aurait jamais été vraiment acceptée par l’Occident. Le traité de Sèvres est signé le 10 août 1920 entre les Puissances alliées et associées et la Turquie, mais non ratifié, il sera remplacé par le traité de Lausanne en 1923. Traité signé le 10 août 1920 à Sèvres (Hauts-de-Seine) entre les Alliés et l'Empire ottoman, qui enlevait à ce dernier les quatre cinquièmes de son territoire (dont l'Arménie) et prévoyait la constitution d'un Kurdistan autonome. Le Moyen-Orient après la Grande Guerre (1914-1918) Texte français, anglais et italien. Après les traités de Versailles […] Publié le 31 juillet 2020 à 14h09 - Mis à jour le 02 août 2020 à 17h01 Le traité de Sèvres, conclu le 10 août 1920 à la suite de la Première Guerre mondiale entre les Alliés victorieux et l'Empire ottoman, confirme l'armistice de Moudros.Ce traité, bien que signé par le sultan Mehmed VI, n'est toutefois jamais ratifié ni appliqué.. Traité de Sèvres Le traité de paix entre les Alliés et le sultan, signé à Sèvres, près de Paris, le 10 août 1920, fait partie des différents traités qui ont mis fin à la Grande Guerre de 1914-1918 entre les Alliés et les Empires Centraux. L’atmosphère est lourde ce 10 août 1920, lorsque la délégation ottomane fait […] Carte 2 : de Sèvres (1920) à Lausanne (1923), les espoirs déçus du peuple kurde. Refusé par les kémalistes, ce traité fut remplacé par celui de Lausanne (1923) Carte Sèvres - Carte et plan détaillé Sèvres Vous recherchez la carte ou le plan Sèvres et de ses environs ? Le Traité de Sèvres est un traité de paix entre les puissances alliées et le gouvernement du sultan turc Mehmed VI après la Première Guerre mondiale.Il a été signé le 10 août 1920 à Sèvres (aujourd'hui dans les Hauts-de-Seine).Ce traité, refusé par le gouvernement des nationalistes turcs dirigés par Mustapha Kémal Atatürk, sera remplacé par le traité de Lausanne (1923). Cent ans après, la revanche d’Erdogan sur le traité de Sèvres Par Marie Jégo et Allan Kaval. Toutefois, ce traité qui prévoyait le partage de l’Anatolie a laissé des séquelles durables. 481 pages. Le 10 août 1920, des diplomates européens se réunissent dans la manufacture de porcelaine de Sèvres, en banlieue parisienne, pour signer le traité de Sèvres, qui vise à recréer la carte du Moyen-Orient en dissolvant l’empire ottoman historique. Pour cette raison, l’usage de la langue kurde en public est interdit. Le traité de Sèvres du 10 août 1920, signé par le sultan Mehmet VI et les Puissances alliées, partageait l'Empire ottoman après la Première Guerre mondiale.Les grands gagnants étaient la Grèce, l'Arménie, la Grande-Bretagne, la France et l'Italie; il était aussi prévu un territoire pour un éventuel Kurdistan indépendant au sud de l'Arménie (voir la carte du partage). Publication en 1920. Traité de paix entre les puissances alliées et associées et la Turquie signé le 10 août 1920 à Sèvres. Par celui-ci, l'Empire ottoman renonce officiellement et définitivement à ses provinces arabes et maghrébines. « Après la large victoire des troupes kémalistes contre les troupes grecques en septembre 1922, le traité de Sèvres est définitivement caduc. Il y a un siècle, le 10 août 1920, le dernier des « traités de paix » qui semblaient achever la Première Guerre mondiale était signé à Sèvres. Le traité de Sèvres est finalement remplacé, le 24 juillet 1923, par le traité de paix de Lausanne qui marque définitivement la naissance de la République de Turquie indépendante s’étendant de la Thrace orientale à l’Asie mineure. Une conférence se tient à Londres en février 1921 dans ce but, sans grands résultats. La situation des Kurdes de Turquie devient difficile dans les années 1920 : Kemal refuse de reconnaître leur spécificité au nom de sa volonté de forger un sentiment national turc. Dans l’esprit des vainqueurs, essentiellement la France, le Royaume-Uni et les États-Unis, ce traité était considéré comme secondaire et fut donc conclu le dernier.